samedi 20 octobre 2012

Invalidité, maladie chronique, et la spiritualité


Quand j'ai été diagnostiqué avec la sclérose en plaques dans le milieu des années 1980 comme un «diagnostic d'exclusion» (voir, ma maladie avait été mal diagnostiquée pendant environ 25 ans avant ce premier "diagnostic") je suis devenu très en colère contre Dieu. «Pourquoi moi», demandai-je. Pourquoi ai-je besoin d'être celui que vous infligés à cette terrible maladie? Pourquoi ne pas vous laissez les concluante Médecins diagnostiquer l'état? Pourquoi ai-je dû continuer à faire semblant que les médecins se sont trompés, juste pour que je puisse vivre ma journée à la vie quotidienne?

J'ai été poser la mauvaise question, vous voyez. Au lieu de demander: «Pourquoi moi, Seigneur?", J'aurais été demandé, "Pourquoi pas moi, Dieu?" Voir, j'ai essayé de devenir le "avant que le diagnostic« moi, et je ne pouvais tout simplement pas le faire. Donc, je suis allé dans le déni, et prétendait que rien n'était. Et, comme toute personne qui est désactivé, ou qui vit avec une maladie chronique peut vous dire, vivre avec un handicap est déjà assez difficile sans essayer de devenir une image pâle de qui l'on aurait pu être sans le handicap, c'est à dire, en essayant de s'intégrer dans un monde conçu par et pour les personnes aptes, dont la plupart sont également découragés. Il m'a fallu un certain temps (environ 10 ans, en fait) à venir à la conclusion que je devais cesser d'être dans le déni, j'avais besoin d'accepter la condition, apprendre à gérer les symptômes, et se concentrer sur une qualité de vie. En effet, j'ai eu besoin de demander, "Pourquoi pas moi Dieu!" Pour vivre dans le déni signifie que la maladie me définissait, j'étais très malheureux, j'ai été séparé de ma spiritualité, j'étais seul, et, j'ai contribué à des événements perturbateurs dans ma vie.

Cela peut sembler Corney, mais j'ai utilisé ma maladie / expérience du handicap comme une opportunité d'entrer en contact avec les besoins de mon «vrai moi». C'est, j'ai décidé d'utiliser cette occasion pour reprendre le contrôle sur ma vie, à renouveler à ma spiritualité, de découvrir et de vivre une vie de qualité, et, pour garder la reconstitution mon «bien» de bonheur et de satisfaction personnelle en tendant la main à d'autres dans des situations similaires. Je veux dire, qui de mieux pour discuter sur la vie avec une maladie chronique que quelqu'un qui le fait sur une base quotidienne, et pas seulement certains chercheur? Qui de mieux pour créer un classeur (qui se trouve au http://www.disabilitykey.com) pour aider les autres à obtenir des assurances invalidité à laquelle ils ont droit que quelqu'un qui a utilisé le processus elle-même, et pas seulement théorique personne des services sociaux? Qui de mieux pour créer un site web et un blog en ligne où nous de condition similaire peut discuter avec, et d'apprendre sur l'extension de notre qualité de vie que quelqu'un pratique chaque jour?

T ma spiritualité m'aider dans cette entreprise? Vous pariez qu'il fait! La spiritualité est une qualité qui va au-delà participation à une organisation religieuse. Il s'agit d'une construction plus basique. Le plus haut niveau de notre développement est affectée par notre capacité à apprécier le sacré dans la vie; à vivre chaque jour avec un but, et à trouver un sens et un but pour nos vies. Spiritualité invite chacun de nous avec un handicap et / ou s'occupant d'une affection chronique de vivre pleinement et dans le présent - en réalité, l'ici et maintenant. Pas dans le déni, mais dans le contrôle de nos vies, l'apprentissage, la gestion, et de vivre chaque jour dans la qualité!

La recherche suggère que les gens, et en particulier les personnes handicapées, dépend de la spiritualité et la religion comme un élément important, sinon la principale, la méthode de faire face aux problèmes de santé physique et stress de la vie. La plupart des recherches, cependant, a adressé sa participation à la religion plutôt que la spiritualité.

Bien que la recherche sur la spiritualité dans le contexte de l'invalidité est clairsemée, de nombreux écrivains réfléchis ont considéré la religion et la spiritualité pour être des facteurs cruciaux de l'adaptation au handicap. MAIS, nous devons être prudents de ne pas «blâmer» Dieu, comme je l'ai fait, ou de dire que mon handicap est «la Volonté de Dieu, ou punition pour quelque chose que j'ai fait". En disant ces choses ne sont pas assumer la responsabilité de nos vies et trouver des moyens de vivre une vie meilleure par la gestion des symptômes. Au lieu de cela, devenir renoué avec tout ce processus spirituel / la religion que vous trouverez vous parle, et de vivre dans le présent avec tous les cadeaux que vous avez encore. Être affilié à une religion spécifique peut parfois aider ceux d'entre nous personnes handicapées à trouver réconfort dans les moments d'isolement et de désespoir.

Bien que peu de recherches ont été menées sur l'influence de la religion organisée dans le cadre de l'invalidité, les études sur la population générale ont été positifs. Par exemple, un de 28 ans suivi de milliers de personnes âgées de 18-65 ans a constaté que les personnes qui ont assisté au moins à des services religieux avaient des taux de dépression, le tabagisme et la consommation d'alcool; ils ont également tendance à avoir un meilleur soutien social . Participants fréquents étaient plus susceptibles d'avoir engagé dans d'autres comportements sains, y compris l'exercice physique. L'effet sur la survie a été bonne après d'autres facteurs ont été pris en considération - leurs risques de décès a diminué de 34%.

Lorsque l'invalidité est intégré comme une autre dimension de la vie, la croissance spirituelle ne peut avoir lieu. S'il vous plaît relire cette phrase de nouveau au rouge. Il parle de l'intégration d'un handicap ou une affection chronique »comme dimension anothe de la vie"! Cela signifie, en prenant le contrôle de votre vie; fait «vivre» encore une fois, et la gestion des symptômes dans le cadre de la vie quotidienne! Et croyez-moi, ce n'est pas facile! Si vous avez la possibilité d'acquérir le classeur Disabilitykey, vous verrez que j'utilise ma condition actuelle comme un exemple pour les autres à suivre. Chaque fois que je dois me concentrer sur mon "Matrix sclérose multiple Symptôme Dépréciation», je suis déprimé tout recommencer. Mon frère se sentait mal à me demander au sujet de sa «condition» parce qu'il estimait que ce n'était rien comparé à ce que je y faire face (plus sur sa question dans les blogs d'autres). MAIS, je ne concentrer sur le processus de symptôme quand j'en ai besoin. Sinon, je me concentre sur la gestion des symptômes, et sur la vie quotidienne comme la qualité d'une vie que je peux.

Intégrer l'expérience du handicap permet à une personne ayant une déficience à reconnaître que les expériences de souffrance et blessant des conditions universelles. Il peut être un temps pour vous de découvrir des ressources inexploitées, il peut être un moment où vous décidez que vous avez le temps de jouer avec vos petits-enfants, ou de lire ce livre que vous avez été mise hors tension, ou la recherche de vos grands-parents comme ils sont venus en Amérique il ya bien longtemps.

La spiritualité est une façon pour les personnes handicapées à réaliser leur potentiel et de découvrir les possibilités tout en apprenant à vivre avec et à intégrer leurs limitations liées au handicap et pourtant étendent leurs frontières à l'expérience de la plénitude de la vie.

Dans le cadre de mes recherches sur Internet pour ce blog, j'ai trouvé le site suivant, intitulé «Ressources Faithability Religion, spiritualité et handicap». Vous pouvez vous abonner sur le site, gratuitement, et de recevoir (je pense - je n'ai pas eu encore rien) des informations périodiques. Le site avait l'air intéressant, si elle est ici:

http://www.faithability.org/~~V

Encore une fois, vos commentaires, réflexions et idées sur les blogs et dans d'autres sont les bienvenus!...

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